A Embrun, la majorité a dépensé sans compter pendant 5 ans. Souvent pour des opérations de prestige. Les caisses sont vides. On n’a plus de Sécilef à vendre. On ne peut plus emprunter depuis que la Chambre des Comptes a fait son audit.
Et nous paierons comme loyer : le remboursement des emprunts (au prix très fort : c’est déjà le cas pour l’assainissement), et –en plus- les dividendes qu’il faudra verser aux actionnaires. On ne débourse rien au départ mais, au final on paye le double (ou plus) de ce qu’aurait coûté l’investissement si la commune l’avait réalisé elle même.
Des cadeaux aux grossses boites privées, comme on l’a déjà fait pour l’assainissement, pour les Orres, pour le logement social...
Charlie hebdo |
Au détriment de qui ? Des Embrunais.
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